En novembre 1962 paraît dans Jeune Afrique un poème que Kateb voue à la mémoire de trois « voix brisées », trois figures algériennes mortes avant de voir la « lumière » de l’indépendance : Frantz Fanon, Mouloud Feraoun et Jean Amrouche. Pourtant, leurs partis pris, leurs trajectoires diffèrent. Restituer ces dissemblances devrait permettre d’approcher la communauté souveraine que Kateb célèbre et qui, en cette année 1962, porte l’espérance.
« Mourir ainsi c’est vivre » Chapitre d’ouvrage - 2013
in Christiane Chaulet-Achour et Pierre-Louis Fort (ed.), La France et l’Algérie en 1962, 2013, pp. 135-147. ISBN 9782811110475. 〈http://www.karthala.com/lettres-du-sud/2767-la-france-et-l-algerie-en-1962-de-l-histoire-aux-representations-textuelles-d-une-fin-de-guerre.html〉
Résumé