Résumé
Mauras s’est peu intéressé au spectacle vivant. Les périodiques de sa mouvance se devaient d’assurer le suivi de l’actualité théâtrale. Les critiques, Lucien Dubech, Robert Brasillach, Thierry Maulnier, , pour être légitimes et parce qu’ils aimaient le théâtre, ont pris des libertés avec la doxa. Les dramaturges, Henri Ghéon, Robert Brasillach et même Thierry Maiulnier, ont peiné à se faire une place dans l’institution et le répertoire. La contribution de l’Action française au théâtre contemporain a été au bout du compte médiocre. l’idéologie et la création font mauvais ménage.