Abstract
Nous avons choisi d’analyser les romans de la Trilogie de l’Amour et de la Mort, Un amour, Un inceste et Une mort, que Valentine de Saint-Point publie entre 1906 et 1908, en les insérant dans un contexte littéraire en plein bouillonnement pré-avant-gardiste et avant-gardiste. En en relavant quelques-unes des idées directrices, nous essaierons de comprendre en quoi ces textes paraissent en 1925 « incohérents et maniérés », selon le jugement - sûrement sévère - d’Henriette Charasson.