Résumé
Cette étude se concentre sur le dernier chapitre de La Vie mode d’emploi pour y déceler la présence explicite et plus implicite de l’œuvre proustienne dans ces pages de Georges Perec. La réflexion aboutit à l’hypothèse d’un jeu profond avec l’intertextualité, dans le texte perecquien, pour établir une collaboration énonciative par laquelle le lecteur, gardien d’une mémoire littéraire, serait chargé d’énoncer ce que le texte ne parvient pas à formuler explicitement.