Résumé
L’article propose une synthèse des manifestations de la présence du rêve dans l’œuvre de Franz Hellens. En revenant sur les origines surréalistes de cet auteur belge, il s’attache à distinguer sa démarche de celle du groupe parisien et à comparer les productions. En conclusion, on propose une nouvelle approche du fantastique, qui reposerait moins sur une sensation d’effroi que sur celle d’un émerveillement.