Résumé
La découverte du théâtre de Krystian Lupa en 1999, avec l’adaptation des Somnambules d’Hermann Broch, produit l’effet d’un événement dans la vie théâtrale française. La critique se montre notamment sensible à sa façon de s’approprier une œuvre démesurée pour la scène, que bien loin de dramatiser, ou simplement de réduire, il amplifie par son travail en répétition. La singularité de sa démarche est approchée grâce à l’analyse de trois adaptations (de romans de Dostoïevski, Boulgakov et Bernhard) ainsi que des témoignages de Lupa et de ses collaborateurs.
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