Le Tibre, mythopoétique d’une mémoire transitoire au coeur de la ville éternelle [Der Tiber, Mythos eines vergänglichen Gedächtnisses im Herzen der Ewigen Stadt] Chapitre d’ouvrage - 2021

Franck Collin, Alain Malissard

Franck Collin, Alain Malissard, « Le Tibre, mythopoétique d’une mémoire transitoire au coeur de la ville éternelle [Der Tiber, Mythos eines vergänglichen Gedächtnisses im Herzen der Ewigen Stadt]  », in Les villes-fleuves du monde au fil des siècles : histoire d’eau et d’art, à paraître

Résumé

Communication prononcée au colloque international « Orléans et les villes-fleuves du monde au fil des siècles : histoire d’eau et d’art », 16-18 mars 2017, Université d’Orléans, EA 1210 Cedete et Musées de la Ville d’Orléans, À paraître dans Les villes-fleuves du monde au fil des siècles : histoire d’eau et d’art, B. Sajaloli et P. Voisin (dir.), Garnier. Les fleuves ont puissamment irrigué la vie des hommes et leur imaginaire poétique. Admirés, craints, divinisés, ils tissent un lien originaire avec les hommes, suscitant mythes et histoires, qu’ils s’agissent du Nil ou du Scamandre, de l’Amazone ou du Congo, du Rhin ou du Danube, pour ne citer qu’eux 1. Les fleuves, par leur fertilité et leurs facilités d’accès, font naître les cités. Tel fut le cas de Rome, que le Tibre sema au VIII e siècle avant notre ère. Si ce lien semble exclusif, certains rappellent néanmoins que le Tibre prend sa source loin en amont de Rome, qu’il n’a en soi rien d’insigne 2 , et ne doit sa notoriété qu’au prestige antique de la Ville.

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