Mohammed Dib – Jean Sénac Ouvrage (y compris édition critique et traduction) - 2020

Hervé Sanson, Frédéric Jacques Temple, Albert Memmi, Habib Tengour, Abdelkader Djemaï, Naget Khadda, Benjamin Guérin, François Desplanques, Abdellatif Laâbi, Denise Brahimi, Karolina Resztak, Charles Bonn, Abdellah Romli, Tristan Leperlier, Ismaïl Abdoun, Claire Riffard, Manel Aït Mekidèche, Lakis Proguidis, Catherine Brun, Salim Jay, Mohammed Dib, Angelica Ammar, Samira Negrouche, James Sacré, Philippe Bordas, Jean-Pierre Chambon, Pierre Joris, Satoshi Udo, Guy Dugas, René De Ceccatty, Dominique Combe, Albert Bensoussan, Pierre Rivas, Abdelmadjid Kaouah, Éric Sarner, Kai Krienke, Emmanuel Roblès, Jean Sénac

Hervé Sanson, Frédéric Jacques Temple, Albert Memmi, Habib Tengour, Abdelkader Djemaï, Naget Khadda, Benjamin Guérin, François Desplanques, Abdellatif Laâbi, Denise Brahimi, Karolina Resztak, Charles Bonn, Abdellah Romli, Tristan Leperlier, Ismaïl Abdoun, Claire Riffard, Manel Aït Mekidèche, Lakis Proguidis, Catherine Brun, Salim Jay, Mohammed Dib, Angelica Ammar, Samira Negrouche, James Sacré, Philippe Bordas, Jean-Pierre Chambon, Pierre Joris, Satoshi Udo, Guy Dugas, René De Ceccatty, Dominique Combe, Albert Bensoussan, Pierre Rivas, Abdelmadjid Kaouah, Éric Sarner, Kai Krienke, Emmanuel Roblès, Jean Sénac, Mohammed Dib – Jean Sénac , SEP Europe, Europe, revue littéraire mensuelle, 2020. ISBN 978-2-351-50109-2. 〈https://www.europe-revue.net/produit/n-1094-1095-1096-mohammed-dib-jean-senac-juin-juil-aout-2020/〉

Résumé

Un siècle après la naissance de son auteur, l’œuvre de Mohammed Dib (1920-2003) ne cesse de nous surprendre et de nous émerveiller. Celui qui, pendant la guerre d’indépendance, se fit le chantre, dans sa trilogie romanesque (La Grande Maison, L’Incendie et Le Métier à tisser) d’une Algérie profonde, miséreuse et souffrante, fut aussi de ceux qui donnèrent à la littérature algérienne cette dimension universelle qui la caractérisa très tôt. Romancier, conteur, auteur dramatique, mais aussi poète avant tout et toujours, les études, témoignages et textes inédits réunis dans le présent dossier tracent le portrait d’un écrivain dont l’élévation d’esprit n’a d’égale que l’inventivité verbale.Poète algérien « de graphie française », selon son expression, Jean Sénac (1926-1973) fit une entrée fracassante en poésie, au milieu des années 1950, sous le double patronage d’Albert Camus et de René Char. Des nuits de son exil parisien à celles de sa « cave-vigie » de la rue Élisée-Reclus, à Alger, où il vécut et fut assassiné, Sénac aura traversé sa trop brève existence comme le veilleur d’Eschyle, les yeux fixés vers l’horizon, guettant une aurore qui tardait à poindre. C’est pourtant une poésie généreuse et solaire que celle de Sénac, une poésie de « l’atelier immense du soleil », comme l’écrivait René Char.

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