Résumé
Le récit d’un projet mené dans le cadre du Labex IMU (Intelligences des Mondes Urbains) au sein de la ville de Saint-Étienne, avec le photographe Guillaume Bonnel, permettra de mettre en évidence les manières dont les pratiques de prises de vue et de manipulation d’images peuvent travailler à la prise de conscience du paysage et du territoire comme « biens communs » ; elles permettent également des approches post-disciplinaires, ouvertes sur le débat public.